(...) Côte à côte serrés, sans plainte, sans murmure, Nos soldats grelottants écoutent l'âpre cri D'un rapace de nuit, là-haut dans la ramure. L'eau monte, envahit tout. Et l'implacable ciel Semble pleurer sans fin de la glace et du fiel. Bois des Caures,...
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